Les traits des touches caresseuses
Qui chantent
Le mirage des nuits fugueuses
Qui s’envolent
Les crachats de la haine ennuyeuse
Qui bruissent
Les fenêtres de l’esprit qui s’ouvrent
Imane
Les pétales des fleurs qui tombent
Allaitant !
Mes terres asséchées par tant de vents de solitude.
Je suis le poisson dans l’ablier du pécheur
Qui chasse ces vingt ans de pécheur.
Les ruisseaux du printemps
Qui met dos aux saisons.
Les brisures des miroirs .
Qui peignent ma couleur de mémoire
L’échappatoire n’est plus de mise.
Revenir sous l’ombre de ta main mise.
Je ne suis plus l’esclave de mon spleen.
La paix harmonieuse des mosquées.
Les mèches rebelles des vignes bordelaises
Les bosses têtus des chaussées bordières.
Je me jetterai aux anges du ciel
Pour toi Imane…..
Trempée dans l’encre de lumière…..
La sueur d’une bougie qui coule sur ma joue….
Je dicte à la plume Les lettre d’un emblème ….
Dis à Imane que je t’aime…..
Qui chantent
Le mirage des nuits fugueuses
Qui s’envolent
Les crachats de la haine ennuyeuse
Qui bruissent
Les fenêtres de l’esprit qui s’ouvrent
Imane
Les pétales des fleurs qui tombent
Allaitant !
Mes terres asséchées par tant de vents de solitude.
Je suis le poisson dans l’ablier du pécheur
Qui chasse ces vingt ans de pécheur.
Les ruisseaux du printemps
Qui met dos aux saisons.
Les brisures des miroirs .
Qui peignent ma couleur de mémoire
L’échappatoire n’est plus de mise.
Revenir sous l’ombre de ta main mise.
Je ne suis plus l’esclave de mon spleen.
La paix harmonieuse des mosquées.
Les mèches rebelles des vignes bordelaises
Les bosses têtus des chaussées bordières.
Je me jetterai aux anges du ciel
Pour toi Imane…..
Trempée dans l’encre de lumière…..
La sueur d’une bougie qui coule sur ma joue….
Je dicte à la plume Les lettre d’un emblème ….
Dis à Imane que je t’aime…..